LA MAROLAISE

25 mai 2017

MAROLLES en HUREPOIX, 13/05

La Marolaise, Course 95 % Nature de 10 Km.

Départ du Stade Norbert Batigne.

A la recherche du dossard et de la casquette 10ans de Marollaise, ils sont trois à distribuer les casquettes et ça n’avance pas.

Sur la pelouse, je retrouve Camille et Guillaume du Club,

Sylvie et Pascal les instituteurs,

Jean Luc et Catherine ex trésorier et bénévole du CNVO… V4

Sylvie et Pascal au départ.

Marolles en Hx « territoire rural du Gâtinais-Hurepoix » la forêt et les champs entourent le village, on est à la fois en banlieue et à la campagne, une ville ou on peut respirer, avoir une maison avec un jardin, sans s'enfermer dans un monde clos.

Le stade est au milieu du quartier résidentiel, sur la pelouse un plateau omnisport est installé pour les enfants, Monsieur le Maire vient saluer les pousseurs de la Joëlette, superman va donner le départ.

La promenade débute, dans la zone pavillonnaire entre la ferme et le bois, nous longeons la ligne de chemin de fer sur un chemin humide, il fait assez beau, rapidement nous sommes en forêt, je passe sur un pont en béton sous lequel coule un ruisseau qui s’échappe vers ma gauche.

La végétation est verte, de l’autre côté ce sont des champs bien verts.

Sacré monture avec le sac a dos Guillaume pousse la joëlette.

Chemins de promenade, piste cavalière, ce site est aménagé pour accueillir le public au cours de randonnées pédestres cyclistes et équestres sous les ombrages d’essences variées.

Alisiers, merisiers, cormiers ... nous ne sommes pas près de nous ennuyer !

Pour nous permettre de se promener en toute sérénité, des cartes et documents pédagogiques ont été réalisés pour les forêts régionales par l’Agence des espaces verts d’Ile-de-France, les bois sont rythmés par des clôtures qui s’étalent de part et d’autres.

A un carrefour à un obélisque de 12 mètres de haut, érigé par le seigneur de Saint-Vrain Louis Duval d’Epinois au XVIIIe siècle.

Un majestueux Sorbier de 15 mètres de haut et de 70 cm de diamètre trône dans cette forêt.

Être dehors plutôt que dedans, des arbres on étés coupés et les morceaux de bois sont entassés là, nous croisons régulièrement des sentiers a droite et a gauche. Ce n’est pas du trail, t’est pas une cyclo, t’es jugé au chrono quel que soit le classement… Alors faut y aller.

Impossible de se perdre et on y rencontre de drôle de personnage dans ces contrées.

Je longe un champ agricole marqué propriété privée.

C'est très roulant, peu boueux, il y a peu de spectateurs une des bénévole me dit que les tilleuls, les érables et les frênes ne parlent pas beaucoup, qu’elle se sent un peu seule au milieu de ces bois. Ça ne monte pas, ça ne descend pas, ça reste plat, la promenade tourne sur la gauche pour prendre une allée cavalière, un virage serré sur la droite puis une centaine de mètres plus loin je débouche sur le passage prés des rails, avant le km 8 et je le prends dans le sens contraire au départ.

Coucou c’est au vert je peux passer.

Nous sommes dans la partie du lotissement, je me débarrasse de quelques coureurs qui calent sérieusement, nous entrons dans le parc des sports, HORREURS… il faut contourner les terrains de foot (c’est très très long)

Avant de franchir la ligne, musique pour vibrer d’émotion à l’arrivée des athlètes.

Pascal et Catherine avant l’arrivée.