LA COLERE DU TIGRE

Mise en scène Christophe Lidon,

Avec Claude Brasseur,  Yves Pignot,  Sophie Broustal, Marie Christine Danède.

Au crépuscule de sa vie, Clémenceau, l’homme fort de la guerre de 14, passe quelques jours avec son ami Claude Monet dans sa modeste maison vendéenne. C’est là que sous les yeux de son dernier amour et de sa gouvernante, celui qu’on nommait « le Tigre » se livre à l’une de ses plus mémorables colères, contre celui qu’il protège et à qui il reproche d’avoir détruit une partie de son œuvre.

À travers la dispute qui oppose ces 2 géants de la politique et de la peinture, ce huis-clos orageux nous offre une magnifique méditation sur l’amitié. Un grand moment d’émotion, porté avec brio par Claude Brasseur dans le rôle-titre.

J'ai eu du mal à entrer dans l'histoire, le rythme est peu soutenu mais nous avons appris plein de choses sur les deux hommes et sur l’époque.

Le surnom « le tigre »  a était donné a G Clémenceau en 1906, alors qu’il était ministre de l’intérieur,  il a réprimé « méchament » la grèves de mineurs consécutives à la « catastrophe de courrières »

79 ans, Bravo Monsieur Brasseur belle énergie!

Yves Pignot (Monnet) caractères bien trempés qui se sent devenir aveugle,

Sophie Broustal(secretaire)  campe une fine élégante, 

Marie-Christine Danède,(servante) bel accent, dévouée mais autoritaire.

Beaux textes, jolie décor, au milieu des nymphéas en impression.