EAUX

Plage de Pereire

Les plages océanes sauvages ne sont pas loin, les marées déplacent entre deux-cents et quatre-cents millions de mètres cube d’eau quatre fois par jour, sculptant et déplaçant en permanence les bancs de sables qui s’y trouvent.

Les goélands scrutent le sol a la recherche de crevettes et restent indifférents à la comédie humaine  

 

Des bateaux en plastique surmotorisé remplis de touriste se dirige vers le banc d’Arguin, étroite et élancé, son poste de conduite abrité, la pinasse  roule bord à bord dés qu’elle prend une vague de travers.

Poussé par leur turbine, les scooters de mer font un vacarme dans un style cyclomoteurs de banlieue, ils font des ronds à grande vitesse, devant les mouillages, levant un clapot court.

Les plates des ostréiculteurs, croissent à pleine vitesse levant une ondulation qui fait danser les bateaux accrochés par leur orin à leur corps mort, les bateaux puissamment motorisé permettent aux paysans de la mer d’aller plus vite et de reste plus longtemps sur les parcs.

Arés

La zone intertidale occupe les deux tiers du bassin.

Anse d’or où s’endort l’Océan apaisé, je marche seul au bord de la plage, je marche lentement les mains dans les poches, m’arrêtant de temps a autre pour regarder l’eau monter ou admirant les villas du bord du sable

 Vrais maisonnettes constituant un petit village, les cabanes ne sont plus construite en bois et matériel de récupérations, qui servaient a rapprocher l’ostréiculteur de sont stock d’huitres des ses parcs de son bateaux de lui fournir un abri dans l’attente de la marée. 

Sur le ponton les pécheurs ont la mauvaise habitude de laisser trainer les entrailles de poissons utilisés comme appâts et des sacs plastiques poisseux.

J’emprunte le chemin de planche jusqu’ au bac de St Brice.