BEETHOVEN: LA NEUVIEME
POINT D’ORGUE BEETHOVENIEN POUR CLOTURER LA SAISON
Concerts symphoniques Beethoven : la Neuvième
Direction et commentaires: Dominique Rouits
Soprano: Fabienne Conrad
Mezzo-soprano: Marie Kalinine
Ténor: Jean-Pierre Furlan
Baryton: Philippe Brocard
Chœur : L’Atelier de Massy, A Contretemps de Draveil
Ensemble vocal de l’Hurepoix
Chœur universitaire d’Evry
Quoi de mieux pour terminer une saison artistique que l’œuvre qui clôtura la carrière du plus grand symphoniste de tous les temps? Cette superbe symphonie avec chœur ne se contente pas de conclure un grand cycle, mais offre une sublimation de l’art du compositeur, considéré comme l’un des plus grands génies musicaux de tous les temps.
La splendeur de cette 9e Symphonie, sublimée par les voix des quatre incroyables solistes, la beauté des thèmes, jusqu’à l’explosion finale de la mythique « Ôde à la joie de Schiller », bouleverseront petits et grands.
« Ne te contente pas de pratiquer ton art, mais fraie-toi un chemin dans ses secrets, il le mérite bien. Car seuls l’art et le savoir peuvent élever l’Homme jusqu’au Divin » – L. v. Beethoven
Le maitre nous explique les complexités de l’œuvre, que ce soit dans sa globalité ou dans ses détails « les mouvements lent sont inversés par rapport à l'ordinaire : d'habitude le Scherzo vient se loger en troisième position et se trouve ici à la deuxième place ».
Fougueux et prenant le premier mouvement. Pas envoûté, mais le rythme, les chœurs, les harmonies me surprennent il y a de la « musique turque » faite de triangles, cymbales et tambours et la voix du tenor explose, les chœurs sont clair dans la salle, quelle puissance quand la masse reprend le refrain de la Neuvième,