CYCLE BEETHOVEN

24 03

Huitième concert du cycle Beethoven. Triple concerto pour violon, violoncelle et piano, en ut majeur op. 56

Symphonie n°8, en fa majeur op. 93

Programme: Ludwig van Beethoven
Direction musicale Dominique Rouits
Violon Guillaume Plays
Violoncelle Raphaële Sémézis
Piano Fang-Yi Lee

29 Musiciens

Le Triple concerto pour violon, violoncelle et piano est pour Beethoven une partition d'une grande originalité, dans laquelle la complicité des solistes est portée par le souffle de l'accompagnement d'orchestre.

Dominique Rouits, nous explique qu’il « n’est pas facile de trouver trois soliste pour jouer ensemble, composé en 1803 L'œuvre comporte trois Mouvements, le triple est un échange permanent, un équilibre qui ouvre les portes du romantisme vers de nouveaux horizons musicaux, le violoncelle donne ton, le violon a la partie délicate, le piano a une tonalité inconfortable ».

En miroir, c'est la Huitième symphonie qui prend place dans la seconde partie du concert, symphonie qui sonne comme un retour aux sources pour le compositeur.

Le chef nous explique

« Le travail de composition se concentra à l'été 1812, la 8 ème symphonie évoquent l'élégance et l'optimisme, la symétrie de ce modèle est brisée par des moments atypiques, qui ponctuent de façon inattendue le dialogue entre les cordes et les bois ou la répétition obstinée et fréquente de 3 notes courtes suivies d'une longue note »

Le Maestro transmet au trio et aux musiciens de l’orchestre de l’énergie ou de la fluidité, ils  font quelque chose de beau, d’harmonieux, ils nous permettent d’échanger est de respirer ensemble.