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Le Petit Bazar
14 novembre 2017

M. LAVILLIERS

Vendredi 10/11/2017

Crinière blanche, textes superbes, yeux lumineux, ses rythmes nous emportent.

Taquin il aime bien balancer des vannes, le Stéphanois porte depuis toujours ses combats haut et fort, citoyen du monde, il aime les causes perdues. Nicolas D-A le maire de Yerres (ou nous sommes) est taclé dans «Les aventures extraordinaires d’un billet de banque»


Le Théâtre est  plein, la salle ovationne le grand voyageur.

En jaune et noir six musiciens, clavier, guitares électriques, cordes,  cuivres et percussions.

 

  Témoin de son temps, Le ton est ferme, provocateur.

Nouveau titre,

La gloire, Poème écrit par Pierre Seghers en 1957 en pleine guerre d’Algérie,

B Muse, Bon pour la casse et 5 minutes au paradis

«5 minutes au paradis avant que le diable n’apprenne ta mort »

Le chanteur esquisse quelques pas de danse, explique : « On ne change pas le monde avec une chanson mais on y contribue en attirant l’attention ».

 

 Chansons lucides, d’actualités, portées par des rythmiques reggae ou funk résolues « Bousculer l’ordre des choses »,.

« Charleroi » sur le déclin économique et social,

La Peur « La peur tire tes volets vers les huit heures du soir et renforce tes gonds et ferme tes couloirs »   

Grâce poétique pour Fortaleza,

Le foyer de la colère est toujours rougeoyant, B L faite résonner ses plus beaux titres : Idées noires, la loi du marché,

On the road again fait lever le public, Stand the ghetto,

Les Mains d'Or les spectateurs chantent avec Bernard dans une jolie communion, les musiciens sont aussi formidables.

Travailler encore  est reprise en cœur par le public.

Après le rappel il interprète «Vivre encore»

La « standing ovation » qui suit est logique,

Engagé? le militant n’a pas baissé pavillon...

 

 

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